Les voix du souterrain libre

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La caverne s’étendait appelées à Julien à savoir une pomme grande, dévorant la lumière de la journée pour ne faire savoir qu’un vide abyssal. Il avait exploré un grand nombre de grottes, mais zéro ne ressemblait à celle-ci. Dès qu’il avait franchi l’entrée, un vacarme oppressant s’était installé, comme par exemple si l’air lui-même était figé. Pourtant, ce n’était pas l’absence de bruit qui troublait l’explorateur, mais pas très ce qu’il avait lu intentionnellement de cet question. Les immémoriaux récits parlaient d’une caverne où l’écho ne se contentait pas de répéter les sons, mais semblait restituer des paroles de myteres, venues d’un ailleurs impossible à définir. La voyance évoquait parfois des régions où l’énergie restait piégée, comme par exemple un conte en bouclette, capturant des instants du passé pour les répéter à celles qui osaient s’en approcher. Julien alluma sa lampe frontale et fit deux ou trois pas prudents. La roche humide suintait d’eau, et le sol âpre nécessitait de se déplacer sérieusement. Il s’arrêta un moment et tapa mollement de certaines doigts. Le son rebondit sur les parois… puis, arrière un bref silence, une voix lui revint. Ce n’était pas son écho, mais une phrase murmurée, une voix qu’il n’avait jamais entendue avant tout. Il frissonna. La voyance par téléphone sérieuse expliquait que certaines personnes endroits étaient imprégnés de phénomènes inexpliqués, où l’énergie du passé persistait sous forme d’échos ou de présences spirituels. Ici, ce n’était pas une facile connexion du son, mais un message bien concret qui venait d’un inexploré. Il poursuivit son avancée, creusant les parois couvertes de symboles séculaires. Les inscriptions semblaient être de certaines silhouettes, quelques bouche détachée, à savoir si elles tentaient de articuler. La voyance enseignait que certains emblèmes portaient un sens anonyme, des clés permettant d'aprehender un phénomène encore insaisissable. L’air devint plus flegmatique à métrique qu’il progressait dans la caverne. Puis, à un courbe, il perçut à naissant un murmure. Cette fois, ce n’était pas un ample mot, mais une phrase spécifique. Il savait qu’il ne pouvait plus reculer. Cette grotte cachait un savoir oublié, une mémoire vivante qui attendait d’être décryptée.

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